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Régime
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Commentaires
2EtoileMercredi 23 Septembre 2015 à 22:56Je n'aime pas les régimes...
Ils laissent la frustration dévorer
Les instants gourmands..
Belle soirée FrançoisRéponse au com N°2 Etoile : Frustration, se terme revient souvent en ce moment.Preuve qu'il manque quelque chose quelque part.
5EtoileMercredi 23 Septembre 2015 à 23:417EtoileJeudi 24 Septembre 2015 à 00:02Rire...Ah oui...Il y a l'absence passagère qui fait vivre l'espoir
Il y a l'absence définitive qui fait renaître le souvenir ...
mais rien n'est meilleur que la présence, prenons donc soin de ce temps partagé !
amitié .
Coucou
Merci de ta visite et de ton gentil com !!!!!!
Ton blog est super sympa ! J'ai fait une jolie ballade.
Je te souhaite une belle journée
Gros bisous
Réponse au com N°8 Claudeleloire : Temporaire ou définitive c'est toujours l'absence. A choisir je prendrai la temporaire. Mais c'est vrai que la présence est le meilleur remède pour la vie. Notre choix sur l'élément de présence n'est pas toujours le bon.
Bonjour,
Si un jour je devais faire un régime, je ferai comme Coluche : je ferai deux...
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Samedi 3 Octobre 2015 à 21:38
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Samedi 3 Octobre 2015 à 22:06
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Bonsoir,
Belle citation !
Une absence ou un départ laisse toujours un vide immense.
Belle soirée.
Ne soyons pas pessimistes, il n'y a pas "rien", mais "moins" ou "trop peu" et pour continuer à vivre, il faut bien composer avec...
Je vous souhaite d'être entouré de présences qui vous comblent. Bonne soirée !
bonjour, merci de ton passage chez moi. Je n'aime pas trop les régimes, qu'ils soient réels ou virtuels, la vie est trop courte et trop belle pour ne pas en profiter. Bon article, bravo. Amitiés de Marie
je partage la pensée de Kimcat ...
Quant aux regimes je ne connais absolument pas cette signification et je sais oui j'ai de la chance !!....
ps : y a pas grand chose dans ton assiette LOL
Réponse au com N°15 Marie de Cabardouche : Heu !!!!!!!!!! Sauf votre respect, quand il y a "absence", il n'y a plus rien, comme un départ. Effectivement cela crée un "moins". Faut faire avec, certes.
Réponse au com N°16 Day-lys : Là je crois que c'est un régime ............de sentiments ou d'affection...... .Vous avez raison de ne pas aimer ce genre de régime .
Réponse au com N°17 Citronbleu : Un vide, exact. Vous connaissez pas les régimes. Qu'elle chance en effet.
quand on a l'habitude d'être tjs 2 et que l'un s'en va même le tps d'un repas, c'est dur de manger seul
Réponse au com n° 25 Citron bleu : Oui mais .......... Quoi ..............? Dites moi......
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Samedi 3 Octobre 2015 à 21:38
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Je me permets de persister (et je parle d'expérience): lorsqu'il y a absence ou départ, il reste les souvenirs (donc "moins" ou "autrement", mais en aucun cas "rien"... Il n'y a pas que le concret qui compte)
Réponse au com n° 27 : Permettez moi, et je parle d'expérience, peut être est elle différente mais le résultat est le même. J'ai déjà préciser plus haut ma conception du virtuel. Etant dans une profession ou j'en ai beaucoup usé.je disais donc ,le souvenir n'est pas "nourrissant". Avec tout le respect que je vous dois, essayer de vivre en respirant uniquement les odeurs de la nourriture que vous côtoyiez. Vous ne grossirez pas. Vous ferez le contraire. Si vous mangez ce qui provoque l'odeur vous êtes dans le concret. Vous vivrez.
Maintenant, beaucoup n'ont pas d'autres solutions que de napper un peu de souvenirs sur du réel. Cela aide à survivre, mais pas à vivre. L'odeur n'a jamais fait le plat, tout comme l'habit le moine. Ceci n'est évidemment qu'un point de vue qui permet de faire avancer la discussion. En tous cas merci d'y avoir apporté votre point de vue.
il y a soi mais le chemin est long et douloureux pour se goûter sans l'autre. la vie reste néanmoins sans l'autre.
Réponse au com n°29 photodilettante : C'est vrai, mais "soi" n'est qu'une seule personne. Certains diront que cela ne posent pas de problèmes. Pas si sûr. Cet après midi je suis allé à un enterrement. Comment va faire la personne qui reste. Car compter sur
la bienveillance des voisins n'est pas gagné d'avance.
les voisins je ne sais, il y a la tendresse des proches qui savent vraiment votre manque. mais on est seul dans notre peine. j'ai perdu mon homme, j'ai dû refaire notre parcours à l'envers avec douleur avec un manque terrible et les souvenirs et les souvenirs pour pouvoir le refaire ensuite plus calmement ce chemin. mais le manque est là, c'était un mois d'octobre décédé, chaque année inconsciemment mon corps hurle et le revit.
je parle de moi et m'en excuse parce que pour les autres je ne sais pas.
Réponse au com N° 31 photodilettante : Ne vous excusez pas, il me semble normal d'exprimer et d'expliquer sa peine. Je trouve que dans ces moments là ,nous, quand je dis nous, cela peut être la famille, les voisins ou les autres, nous sommes impuissant à soulager. Pour une blessure l'on met un pansement, là nous n'avons même pas de quoi empêcher les larmes de couler.
L'absence... J'ai l’impression par moments, de n'avoir jamais écrit que sur "ça", ce vide insoutenable qui ressemble à ton assiette que rien jamais ne remplit, ne remplira... Je suis triste pour toi si tu connais ça !
Bien amicalement
Danielle
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Mercredi 7 Octobre 2015 à 13:08
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Belle réflexion !
Une absence ou un départ nous apportent un vide dont on se passerait bien...
Bonne soirée.